En 1830 nous consommions 1 kilogramme de sucre par an et par habitant, aujourd’hui en 2015, cette consommation moyenne par individu est passé à plus de 70 kilogrammes de sucre par an. Le sucre blanc est un sucre raffiné et comme tous les aliments raffinés, il est inadapté à l’organisme humain, car ce sont des calories vides, c’est-à-dire qu’il est  dépourvus des micronutriments  dont notre corps à besoin pour son fonctionnement normal. Non seulement ils n’apportent rien de bon, mais en plus il produit des effets délétères continus et notamment dans le cadre de la candidose. Il est essentiel que vous appreniez à le repérer, car il est souvent caché dans l’alimentation que l’on vous propose, afin de l’éliminer. Ce qui sera un  bénéfice considérable pour votre santé.

Les aliments raffinés sont pratiquement dépourvus de vitamines et d’oligo-éléments, ces micronutriments  sont le carburant qui permettent le bon fonctionnement de notre organisme, ils sont indispensables à la vie.

Notre système digestif  provoque une cascade de réactions biochimiques qui utilisent comme carburant ces micronutriments. Si notre alimentation est majoritairement, voire totalement issue de produits raffinés, vous n’en apporterez aucun. Il n’y aura pas d’autres choix pour sa survie que de les prélever dans notre propre organisme. Les réserves s’amenuiseront d’autant plus qu’elles ne seront pas ou peu renouvelées.

Nous percevons ici, l’absurde de ce comportement, à quoi bon raffiner des aliments alors que leur intérêt nutritif est quasiment nul et qu’ils provoquent des réactions délétères dans notre organisme. C’est médicalement et écologiquement absurde. Produire des  aliments raffinés ne répond exclusivement qu’à des intérêts pratiques industriels.

La toxicité du saccharose industriel plus connu sous le nom de sucre raffiné pour notre santé est telle, que l’on peut s’étonner que les pouvoirs publics, d’habitude si prompt à prendre des mesures draconiennes pour réduire un soit disant déficit de la Caisse de Sécurité Sociale, laissent carte blanche aux industriels pour inonder le marché alimentaire de produits qui délivrent des « overdoses » de cet ingrédient dangereux.

Des études chimiques, biologiques et physiologiques ont mis en évidence les effets délétères du sucre raffiné  sur l’humain,  je vous propose de les passer en revue.

Quelques précisions physiologiques.

Notre système digestif d’humain, ne peut assimiler que les sucres d’origines naturelles, non transformés. Il s’agit  du fructose, celui que l’on trouve dans les fruits, les légumes et  lorsque nous sommes enfants du galactose celui que l’on trouve dans le lait maternel et enfin le miel.

Ceux qui ne sont pas assimilables, et qui nourrissent, favorisant ainsi la prolifération du Candida albicans. Ce champignon qui lorsqu’il est en surnombre provoque de nombreux dégâts dans l’organisme, sont tous les sucres artificiels d’origine industrielle. Par ailleurs, ils ne sont pas reconnus par l’organisme qui ne sait qu’en faire et constituent des déchets encombrants qui sont stockés jusqu’à produire des effets délétères qui compromettent à terme notre santé. Il s’agit du disaccharide une combinaison de glucose et de fructose qu’est le Saccharose.

Le saccharose indirectement en favorisant la prolifération du candida albicans va modifier les fonctions digestives en les ralentissant et, par la création d’un tapissage de la muqueuse digestive il installe un obstacle à la physiologie normale. Il en résulte de multiples déficiences enzymatiques et des carences immunitaires.

En outre, le processus chimique d’extraction du saccharose utilise la chaux vive et des colles, dont les résidus renforcent sa nocivité. Les publicités vous incitent à consommer de nombreux produits qui en contiennent, vous les présentant comme des aliments santés, alors qu’il faut absolument les éviter, car ils sont un véritable fléau pour l’homme.

Nocif oui ! Mais quels effets ?

Ce n’est plus un secret pour personne qu’une consommation excessive de sucre raffiné est à l’origine de surpoids, de l’obésité et du diabète, il faut aussi savoir que cela affaiblit notre système immunitaire, permettant notamment des infections souvent récidivantes de la sphère O.R.L, mais aussi d’autres problèmes beaucoup moins connus comme la stérilité.

Les spécialistes estiment que le sucre serait un des facteurs à égalité avec les pesticides de la diminution générale de notre résistance aux agressions infectieuses. Le taux de 30 % leur semble crédible.

La nourriture que nous absorbons doit être considérée comme notre carburant, mais pas seulement. Notre organisme se renouvelle régulièrement, nous devons donc lui apporter en plus de l’énergie nécessaire, des « briques » pour reconstruire ce qui s’autodétruit, c’est le rôle des micronutriments.

Hors le saccharose, au lieu de contribuer à reconstruire et à renforcer les cellules, il stoppe ce processus naturel. En apportant massivement du carbone, il les asphyxie.

Par ailleurs, le saccharose contrairement à l’idée reçue, il ne comble en aucun cas les besoins énergétiques, mais produit des effets secondaires graves. Il atténue l’odorat, transforme et neutralise les glandes salivaires, favorise les caries dentaires.

S’il provoque surcharge pondérale et obésité chez la plupart de consommateurs. Chez les adolescents, c’est une vraie catastrophe, car les perturbations sérieuses du système endocrinien peut-être définitives (1). Ces « ados » en pleine période d’apprentissage, leur consommation de sucre va initier un autre problème, une fatigue cérébrale chronique qui privera le cerveau d’une alimentation nécessaire en glucose dont les résultats seront des troubles de l’attention  et une diminution de la résistance  à la fatigue intellectuelle et physique. Une étude française récente a démontré que le sucre industriel est 100 fois plus addictif que la cocaïne, on ne s’étonnera donc pas si une toxicomanie doucereuse d’installe, qui sera dommageable à l’avenir des consommateurs et de l’espèce humaine.

(1) (problèmes hormonaux, rétention d’eau, cellulite, etc.)

L’estomac et le pancréas ne sont pas épargnés par le saccharose, il provoque dans ces organes une série de réactions naturelles, sécrétion d’acide chlorhydrique (2) dans le premier et contre effets par le second, mais ces réactions produites en excès aboutissent à l’épuisement du pancréas puis à son atrophie, sans oublier les douloureuses aigreurs d’estomac.

Le métabolisme est perturbé, le système immunitaire déficient et affaibli permet l’invasion bactérienne externe et interne. Ce sont alors les conditions idéales pour le développement du candida albicans qui trouvera gite et couverts dans l’organisme. On observera donc progressivement des méfaits secondaires sans en déceler l’origine. Les enfants mais aussi les adultes vont évoluer peu à peu vers une déficience générale.

(2) hyperchlorhydrie

Le foie qui est une véritable usine métabolique, il agit également comme un filtre, mais face à ce flot continu de sucre raffiné, la vésicule biliaire va littéralement le caraméliser. Ce déchet ne pourra pas être éliminé par le foie qui va le stocker et s’asphyxier. Ce processus est un facteur important du vieillissement prématuré de l’organisme.

Sournoisement, le sucre raffiné  ne se contente pas d’affaiblir ceux qui l’avalent, mais aussi leur progéniture en installant sur le long terme une stérilité, les cellules dédiées à la procréation vont être neutralisées par un apport trop important de carbone qui va les asphyxiées, alors qu’à dose normale le carbone est favorable à la vie.

Vous ne le savez peut-être pas, mais le sucre est pour l’œsophage ce qu’est le tabac pour la sphère O.R.L et les poumons, c’est-à-dire  un facteur important du cancer.

Le saccharose est donc un poison, une drogue dure et nous savons tous,  qu’éliminer le sucre de notre alimentation est un exercice difficile, parce qu’il est partout, nous sommes en sa présence quasiment 24h/24, grâce aux efforts des industriels. Il représente près de 46 %  du budget que nous consacrons à l’alimentation, « près de la moitié » vous rendez-vous compte ? Avec ce comportement nous ouvrons très grandes les portes à l’installation de la candidose chronique qui sera responsable d’un grand nombre de nos tracas. Le surpoids, les caries, le diabète, la fatigue chronique, les maux de tête, les palpitations, les vertiges, le foie détraqué. Et tout cela, c’est à cause du sucre raffiné. Mais ce n’est pas tout !

Sa consommation entraîne un affaiblissement des capacités immunitaires, hormonales et circulatoires, une réduction du potentiel intellectuel et favorise la dépression.

Une étude américaine menée sur des souris par l’université de Birmingham, en Alabama, démontre qu’en plus de nous faire grossir, le sucre nous abrutirait.

Si notre corps à besoin de glucide pour fonctionner qu’on lui fournira en consommant des fruits, des légumes et des légumineuses qu’il sait décomposer et utiliser, mais pas de saccharose qui est un aliment mort, une calorie vide, sans intérêt nutritionnel, qui plus est,  consomme les minéraux de l’organisme sans rien apporter en retour.  Consommez du sucre est une nécessité, OUI,  mais en mangeant des fruits et des légumes, ce qu’a prévu pour nous la nature lors de notre création.